Ceci est une ancienne révision du document !
* “Sauvez les meubles”, 5.5 designers
*“Objets anonymes”, Jeremy Edwards
*“la caresse du papillon”, “c'est pas ma faute”, Christian Voltz
*“Le système DIY-Faire soi-même à l'ère du 2.O” Coordonnée par Etienne Delprat
*“Quand le designer n'en est pas un”, Mémoire de fin d'étude de Fanny Prudhomme
“les parleuses” Fanny Prudhomme : kit pédagogique fabriqué à partir d'objets détournés
designmakesense.org (site offrant d'avantage de visibilité à une communauté de designers aux projets à impacts sociaux ou environnementaux
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“Positionnement politique et économique qui replace l'homme et la communauté au centre de notre système, le DIY est une philosophie de l'action qui envisage les questions de manque (de moyens) et de surplus (de matières, de structures…) comme une richesse. (…) Le système DIY-Faire soi-même à l'ère du 2.O
Existe t-il un graphisme DIY? Un low-tech graphique? En quoi peut-on dire que le graphisme est cassé ou jeté? À quel moment le graphisme est hors d'usage? Existe t-il une pérennité dans le graphisme?
“Au début des années 50, J. Villeglé, artiste français, se dénomme « affichiste » et révèle « la guérilla des signes ». Il tient « le journal du monde de la rue ». Jacques Villeglé crée des œuvres à partir d’affiches déjà lacérées en les décollant de leur support dans la rue. Pour repérer les affiches qu’il va récupérer, il se définit dans un premier temps comme le flâneur, puis comme le promeneur baudelairien solitaire.”
http://www.unregardcertain.fr/les-affiches-lacerees-de-jacques-villegle-ou-son-journal-de-la-rue/3539