• Nom de l'étudiant: CHLOE CHAPAL
• Lien vers le karma: http://www.tonerkebab.fr/wiki/doku.php?id=wiki:karma:chloe-chapal:chloe-chapal
• Site personnel:
• Liens vers des projets & tutoriels:

Rénovation de mobilier pour l'ameublement de mon appart à Marseille

* “Sauvez les meubles”, 5.5 designers

*“Objets anonymes”, Jeremy Edwards

*“la caresse du papillon”, “c'est pas ma faute”, Christian Voltz

*“Le système DIY-Faire soi-même à l'ère du 2.O” Coordonnée par Etienne Delprat

*“Quand le designer n'en est pas un”, Mémoire de fin d'étude de Fanny Prudhomme

• Concevoir après et avant d'autres
• Concevoir à l'échelle humaine et pour l'humain
• Concevoir le moins et le mieux : conception frugale

“les parleuses” Fanny Prudhomme : kit pédagogique fabriqué à partir d'objets détournés

designmakesense.org (site offrant d'avantage de visibilité à une communauté de designers aux projets à impacts sociaux ou environnementaux

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“Positionnement politique et économique qui replace l'homme et la communauté au centre de notre système, le DIY est une philosophie de l'action qui envisage les questions de manque (de moyens) et de surplus (de matières, de structures…) comme une richesse. (…) Le système DIY-Faire soi-même à l'ère du 2.O

Existe t-il un graphisme DIY? Un low-tech graphique? En quoi peut-on dire que le graphisme est cassé ou jeté? À quel moment le graphisme est hors d'usage? Existe t-il une pérennité dans le graphisme?

Dans le domaine de l’édition, la philosophie DIY se manifeste principalement à travers la frome du fanzine.

Les premières publications apparaissent dès le XIXe siècle au sein de cecles littéraires amateurs qui souhaitent publier leurs poésie et nouvelles. Ce n’est qu’en 1940 que le terme fanzine, contraction de an et magazine, sera adopté pour désigner ce type de publication. Imprimé à l’aide de techniques d’impression aujourd’hui disparues, comme le duplicateur à alcool, ou le miméographe, les fanzines de la première partie du XXe siècle ne traitaient principalement que de littérature et plus précisément science fiction. Le genre connaîtra son âge d’or à partir des années 60, grâce à la démocratisation de ses moyens de production et d’impression. En effet, l’invention de la photocopie permet à n’importe qui de faire ses propres fanzines. Les sujets deviennent alors beaucoup plus variés et rencontrent les intérêts des contre-cultures et sous-cultures qui apparaissent à cette époque. On trouve alors en plus de fanzines SF, des fanzines sur les médias, la bande dessinée, les films d’horreur, le rock&roll, le punk, le féminisme, le végétalisme, l’anarchie, et par extension, tout ce dont on puisse être fan.

• Échantillon de Fanzines découvert récemment:

• Expérimentation du fanzine: papier découpé, collage, illustrations et typographie.

“Au début des années 50, J. Villeglé, artiste français, se dénomme « affichiste » et révèle « la guérilla des signes ». Il tient « le journal du monde de la rue ». Jacques Villeglé crée des œuvres à partir d’affiches déjà lacérées en les décollant de leur support dans la rue. Pour repérer les affiches qu’il va récupérer, il se définit dans un premier temps comme le flâneur, puis comme le promeneur baudelairien solitaire.”

http://www.unregardcertain.fr/les-affiches-lacerees-de-jacques-villegle-ou-son-journal-de-la-rue/3539